Pauline Joubert prône un art dénonciateur où le croquis fait office de critique : critique de notre société actuelle, critique de la vie, critique du quotidien, ou simplement coup de gueule personnel. Elle proposera lors de l'exposition du vendredi soir au KALIF, des créations proposant sa vision de l'utopie.

Mot de l'artiste : « L'important n'est pas de savoir dessiner.  L'important, c'est de dénoncer, de se révolter contre les petits problèmes du quotidien, mais aussi contre les aberrations de notre société car dans le fond, nous sommes tous à la recherche de notre propre utopie. La révolte d'une femme contemporaine se traduit encore par un seul et unique mot : hystérie. Il faut simplement trouver la bonne façon de sortir le mal de son corps. »